Vous vous dites sûrement : « Espèce de terroriste du web! Comment peux-tu être en faveur du spam, à moins d'être toi-même un sale spammer? »
Commençons par donner une définition au mot «spam». Il existe plusieurs variantes pour définir le spam, mais celle qui est la plus sévère est: « Courriel publicitaire non sollicité ». Si vous envoyez un message à quelqu'un dans le but de l'informer et d'offrir vos services et que ce destinataire n'a pas demandé de recevoir votre message, vous devenez ainsi un spammer. Le spam est illégal dans plusieurs pays, mais dans d'autres pays comme le Canada, il ne l'est pas. Par contre, la plupart des grands fournisseurs d'accès internet canadiens interdisent à leurs clients de s'adonner à des activités de spam.
Je trouve que l'expression « publicité non sollicitée » est ridicule, car la publicité est généralement non sollicitée. Quand vous regardez la télévision et écoutez la radio et qu'on vous impose des messages publicitaires, vous n'avez pas sollicité cette publicité! Quand vous lisez un magasine, il y plein de publicité non sollicitée. Dans les villes, le long des routes, les transports en commun, il s'y trouve une multitude de panneaux réclames. Lorsque vous naviguez sur internet, il y a de la publicité partout! Vous en recevez même dans votre boîte aux lettres. Et il y en a même qui vous téléphone et qui vient cogner à votre porte! Alors la publicité, c'est par définition «non sollicitée».
Mais la publicité ce n'est pas mauvais en soi. Elle permet aux organisations et aux individus d'informer les consommateurs de leurs produits et services, qui sont souvent très bons car les consommateurs les achète et en sont très satisfaits. Pourquoi suis-je en faveur du spam? C'est qu'en l'interdisant nous empêchons les petites organisations et les individus qui travaillent à leur propre compte d'utiliser ce moyen peu coûteux et efficace pour informer les consommateurs de leurs produits et leurs services, qui sont souvent de très grandes qualités et à de très faibles coûts. Les autres moyens de publicité sont hors de prix, ce qui fait que seules les grandes organisations ont les moyens de les utiliser.
Par contre, ce qui est dérangeant avec le spam, ce sont les gros joueurs et les moyens qu'ils utilisent pour en arriver à leurs fins. La majorité des spams (ou pourriels) proviennent d'entreprises douteuses qui nous proposent des produits pharmaceutiques, des moyens miracles d'augmenter nos revenus, des services pornographiques et d'autres trucs qu'ils ne peuvent annoncer via les médias traditionnels. Ils prennent possession et contrôlent de vastes réseaux d'ordinateurs qui ne leur appartiennent pas et à l'insu de leurs propriétaires. Leurs activités sont donc accompagnées d'actes de piraterie informatique.
Commençons par donner une définition au mot «spam». Il existe plusieurs variantes pour définir le spam, mais celle qui est la plus sévère est: « Courriel publicitaire non sollicité ». Si vous envoyez un message à quelqu'un dans le but de l'informer et d'offrir vos services et que ce destinataire n'a pas demandé de recevoir votre message, vous devenez ainsi un spammer. Le spam est illégal dans plusieurs pays, mais dans d'autres pays comme le Canada, il ne l'est pas. Par contre, la plupart des grands fournisseurs d'accès internet canadiens interdisent à leurs clients de s'adonner à des activités de spam.
Je trouve que l'expression « publicité non sollicitée » est ridicule, car la publicité est généralement non sollicitée. Quand vous regardez la télévision et écoutez la radio et qu'on vous impose des messages publicitaires, vous n'avez pas sollicité cette publicité! Quand vous lisez un magasine, il y plein de publicité non sollicitée. Dans les villes, le long des routes, les transports en commun, il s'y trouve une multitude de panneaux réclames. Lorsque vous naviguez sur internet, il y a de la publicité partout! Vous en recevez même dans votre boîte aux lettres. Et il y en a même qui vous téléphone et qui vient cogner à votre porte! Alors la publicité, c'est par définition «non sollicitée».Mais la publicité ce n'est pas mauvais en soi. Elle permet aux organisations et aux individus d'informer les consommateurs de leurs produits et services, qui sont souvent très bons car les consommateurs les achète et en sont très satisfaits. Pourquoi suis-je en faveur du spam? C'est qu'en l'interdisant nous empêchons les petites organisations et les individus qui travaillent à leur propre compte d'utiliser ce moyen peu coûteux et efficace pour informer les consommateurs de leurs produits et leurs services, qui sont souvent de très grandes qualités et à de très faibles coûts. Les autres moyens de publicité sont hors de prix, ce qui fait que seules les grandes organisations ont les moyens de les utiliser.
Par contre, ce qui est dérangeant avec le spam, ce sont les gros joueurs et les moyens qu'ils utilisent pour en arriver à leurs fins. La majorité des spams (ou pourriels) proviennent d'entreprises douteuses qui nous proposent des produits pharmaceutiques, des moyens miracles d'augmenter nos revenus, des services pornographiques et d'autres trucs qu'ils ne peuvent annoncer via les médias traditionnels. Ils prennent possession et contrôlent de vastes réseaux d'ordinateurs qui ne leur appartiennent pas et à l'insu de leurs propriétaires. Leurs activités sont donc accompagnées d'actes de piraterie informatique.Je suis donc en faveur du spam, mais d'un spam contrôlé et règlementé. Je considère que le fait de l'interdire est une mesure extrême et radicale, qui en bout de ligne, rend service à personne puisque le spam existe quand même, et autant qu'avant l'interdiction.
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